G. Ivana Calderini
(ΣΦΔ)ϟ kiss me anyway
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ϟ date d'inscription : 10/05/2012
 |  Sujet: IVANA ϟ because everyone can be happy  Dim 13 Mai - 19:06 | |
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GEMMA IVANA CALDERINI
❝Parce que quand on est accro, même si ça fait mal... Parfois ça fait encore plus mal de décrocher. ❞âge : dix-neuf ans.
date et lieu de naissance : le premier mai mille neuf-cent quatre-vingt-treize à Toscane en Italie
statut : en couple, amour secret.
orientation sexuelle : hétérosexuelle.
études ou métier : littérature, musique, photographie, maths, philosophie et le français.
année d'étude : première année.
choix de votre fraternité : sigma.
signe(s) particulier(s) : parle en italien quand elle s'énerve trop, son petit accent italien, elle se mordille souvent les lèvres quand elle est gênée, mal à l'aise.
feat : lucy kate hale.
| stratégique, intelligente
distante
calme
trop curieuse
amusante
trop fragile
douce
sensible
passionnée
émotive
têtue
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DERRIERE CE MASQUE...pseudo/prénom : .angie
âge : on ne demande pas l'âge à une femme.
fréquence de connexion : 5-6/7.
où as-tu trouvé le forum ? par moi même.
comment le trouves-tu ? sublimissime  .
autre ? je vous aime les bisounours  .
Dernière édition par G. Ivana Calderini le Ven 18 Mai - 16:28, édité 1 fois |
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G. Ivana Calderini
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| | Sujet: Re: IVANA ϟ because everyone can be happy Dim 13 Mai - 19:06 | |
|  ONCE UPON A TIME...J'étais là, assise sur la moquette, regardant avec de gros yeux, Alessandro jouer aux petites voitures. Quand je l'entendais imiter le bruit du moteur, je rigolais. Je ne pouvais m'empêcher de rire. Maman vînt nous rejoindre dans le salon, elle passa sa douce main dans les cheveux d'Alessandro qui ne s'en était même pas rneud compte, bien trop concentré sur ses petites voitures, puis elle vînt s'asseoir sur le canapé, me prenant sur ses genoux. Maman avait pour l'habitude de nous raconter des histoires. J'adorais l'écouter, sa voix était d'une douceur infinie, incomparable, et quand je me trouvais dans ses gras, je me sentais en sécurité. J'aimais le parfum dont elle dégagé, ses cheveux blonds qui retombés en bouclette sur ses épaules. Ses yeux bleu azures. Je ne ressemblais pas à ma mère, non, je n'étais pas blonde, je n'avais des yeux bleu, je n'étais pas autant parfaite qu'elle. Quand elle commença son histoire, je me blottis dans ses bras et Alessandro arrêta de jouer, laissant tomber ses petites voitures sur la moquette, et vînt nous rejoindre, hypnotisé par ce que disait notre mère. Les rayons de soleil de Toscane persisitaient pour entrer dans la salle, ils transperçaient les rideaux écrus. Après avoir fini son histoire, maman nous chanta quelque chose avec comme accompagnement, son piano. Sa voix nous emporta et nous berça. Peu à peu, nous sombrions dans un sommeil. Maman avait l'habitude de nous conter des belles histoires, de nous chanter de jolies comptines ou chansons. Je posais la tête sur l'épaule d'Alessandro et serra très fort l'our en peluche qui me servait de "doudou". Ce calme se dissipait toujours au retour de papa. Même si nous ne le voyions très peu, nous nous en portions pas plus mal. Pourtant, contrairement à mon frère, je ne pouvais pas le détester... Et pourtant dieu sait qu'il avait bien tous les défauts de la vie ! Je me suis toujours demandée ce que maman avait trouvé à papa. Ce qu'un ange avait pu trouver à un démon... Très mauvaise comparaison mais pourtant, c'était ce que je ressentais.
Je suis née le premier mai en mille neuf-cent quatre-vingt-treize. Le jour du muguet, oui, même en Italie, ceci ce fait. Depuis mon plus jeune âge, j'avais toujours posé cette question stupide : " Maman ?! Il est où papa ?!". Je la trouvais stupide cette question, parce que je savais très bien la réponse. Mais maman, en guise de réponse, elle me souriait tout simplement et repartait à ses occupations. Stupide, débile, sans aucune signification ! Parce que je savais très bien que papa était un homme très demandé dans notre société actuelle et que ceci expliqué ses déplacements, son absence. Il pensait sûrement bien faire en nous donnant ou nous envoyant de l'argent toutes les semaines... Mais non... Il n'était pas digne d'être notre père, et pourtant, au fond, je n'arrivais pas à le détester, je n'arrivais pas à le railler de ma vie, parce que c'en était ainsi. Après tous ce qu'il a fait, certes, je ne lui pardonnerais pas, mais je ne pourrais jamais le haïr... BECAUSE I CAN'T LIVE WITHOUT YOU, MY TWIN...Nous avions grandi au sein d'une famille plus qu'aisée. Je ne m'en plaignais pas, je ne manquais de rien. Mais peu importe l'argent, les nouveaux habits, les nouveaux jouets ou jeux, tant qu'il y avait la présence de ma mère et Alessandro, je me sentais bien, je me sentais heureuse, je me sentais en sécurité, forte afin de combattre le mal... Désolée, je me suis emportée. UC  SORRY, I MUST LEAVE YOU...blablablabla  BEACAUSE ONE DAY, WE ALWAYS END UP FINDING THE RIGHT PERSON...blablablabla |
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